
Internet...Quelle belle invention n'est-ce pas ? On recherche, on s'amuse, on fait des rencontres, on y croise des gens interressants ou des débiles profonds (oui je sais, il faut de tout pour faire un monde), on envoie des mails et...c'est justement là que je voulais en venir...Les mails ! J'en reçois beaucoup, de toutes provenances, amis, forums, jeux etc puis je reçois aussi des cochonneries. Et dans ces cochonneries il y a...il y a...les chaînes ! Ces aberrations collectives sensées vous informer que vous avez gagné un portable Nokia, vous avertir que les sièges des salles de cinéma sont remplis de seringues porteuses du sida, vous faire peur en disant que Microsoft va fermer votre compte msn ou bien encore vous inonder de bons sentiments en vous demandant de l'aide pour soigner un gosse atteint d'une maladie tellement rare qu'elle n'apparaîtra pas avant 2012...Bref, je ne sais pas ce que certains internautes ont dans le crâne, non vraiment je ne sais pas du tout car pour moi internet est avant tout un outil, je n'ai pas l'esprit léger au point de croire toutes ces conneries peuvent apporter quoi que ce soit, ni à moi, ni aux autres...

...de préciser que, naturellement, tout cela s'applique aussi bien aux autres sites internet, aux forums (terrrrrrrrible dans les forums), bien entendu les blogs et tout ce qui s'écrit dans tous les domaines que ce soit.

Je craque, j'en peux plus, je m'énerve et je ne sais pas comment montrer à ces illetrés mon plus profond mépris sans péter un plomb...Je m'explique (ouais c'est mieux hein ?)

Tssss non, ben non peuh ! Shrek ça fait un bout que je l'ai oublié ! Là je parlais juste du titre de ma chanson (et en passant si quelqu'un aime les paroles et veut les mettre en musique, surtout qu'il n'hésite pas ! A M'EN PARLER AVANT !

...incartade au but que je me fixe concernant ce blog, je m'explique, je ne suis pas sensé y parler d'autre chose que de mes écrits, non... non non n'insistez pas !! WOW j'ai dit NON !! (oui bon je sais que je l'ai fait, ça vous va ??) Bien, donc pour suivre cet élan (sans cornes)... ... ... Bon c'est malin, à écrire des conneries je ne sais même plus où je voulais en venir...!!! Ah ! Si ! Heu...Non, ben non c'est mort, me souviens plus. ahhhhh foutue mémoire, en voici ma description :

...que je voulais parler de cette série, culte en devenir, le rôle de Mulder lui allait déjà comme un gant mais celui de Hank Moody lui colle à la peau..."Californication"
Truc...J'y
passe du temps, je glane des infos, je télécharge (toujours dans la
légalité, cela va de soi), je fais attention à ne pas choper le premier
virus qui passe mais...P*tain que les pubs intrusives me font chi*r !!!
Pardonnez ce language quelque peu familier qui n'a point sa place dans mes habitudes dactylographiques, merci.
Je hais ça, surtout depuis ces apparitions sans fenêtre, ces pub
presque transparentes où l'on cherche désespérément la petite croix (et
pendant ce temps la pub passe...)
Au début on cliquait et ça se fermait, la croix était bien visible,
ensuite, ils ont planqué la croix, on la cherchait, la trouvait et on
fermait mais maintenant ils mettent une croix pour le plaisir, car en
plus de la réduire au minimum, vous avez beau cliquer dessus ben ça
ferme que dalle ! (et pendant ce temps la pub passe)...Même
l'anti-popup ne sait plus où donner de la tête. Et...et...merde tiens !
...Tout
de même, bien que vous l'aurez remarqué, je pense, c'est que pas mal de
mes écrits sont...bon allez on peut le dire hein ? Glauques, noirs et
peut-être un peu acides (mais juste un peu), le problème c'est que je
suis de ceux qui ne peuvent écrire seulement quand ça ne va pas. Je
reconnais m'être un peu ammélioré depuis...depuis quand ? depuis peu
suffira...Et en général quand ça ne tourne pas rond, je me bats avec
les mots, à savoir qui souffre le plus...A mes motsJe ne pense qu'en mots
Ils écrivent l'envie
En douceur et au chaud
Ils impreignent ma vie
Ils se fondent à mes yeux
Ils se meuvent en feu
Dévorante passion
Colorant mes saisons
Ils se jouent de l'ennui
Quand il pleut sur ma vie
Ils répondent présent
Au plus petit accent
Ils se teintent de joie
Quand mon coeur est chez moi
Et se brouillent de larmes
Quand mon coeur se désarme
Ils sévissent en regard
D'un frisson de ma part
Ils ont peur que parfois
Je les laisse à lécart
Je les jette en retard
Dans la gueule des anges
Je les reçois bâtards
Pour en faire la fange
Je les bois, ces maudits
Les recrache en en colère
je les place assouvis
Les recouvre de terre
Je les pleure parmi
Les plus beaux insoumis
Je les brûle parfois
Pour sortir de chez moi
Patron ! Voici un communiqué du syndicat !!Les dents et les oreilles à nulle autre pareille
Acérées et pointues lorsque le temps venu
Vous incite et oblige à sentir cette oseille
Qui de vous fait des êtres absolument foutus
Les ongles nettoyés à l'éther de nos sangs
L'incidieuse incisive aiguisée dans vos rangs
Que vous lâchez d'en haut, sur nous pauvres haletants
Dans un rire, brisant les beaux rêves incessants
Sueur à votre front quand parfois l'un se fache
Où le froid du canon sur votre joue rasée
Laisse une marque rouge et en bas une tâche
Qu'empressé de laver, tu oublies qui tu es
De cet air comprimé dans notre coeur serré
Se répand chaque jour une haine avouée
Je vois déjà de là les morceaux calcinés
De ta voiture chère à tes yeux délavés
La colère se fait tard, tu peux courber le dos
Plus le temps nous abîme et plus ta vie s'enfuit
Je sens déjà l'odeur de ta chair qui réduit
Sous la torche du peuple éclairant ton caveau
Adieu je ne t'aimais toi cet homme puissant
Ne faisant de ces gens que des êtres boitants
Tu ris moins maintenant que ton compte est fuyant
Mettant clé sous la porte et le sous finissant
Tu n'es ni le dernier, ni premier ni le seul
On se bat tous les jours inspirant ton haleine
Que jamais ne finisse un combat dans la peine
L'argent peut devenir à tout moment, linceul
...Un
peu les "3 C" qui me rappellent le "clope-café-caca", s'en faire
rebattre les oreilles en permanence, on se demande un peu ce
qu'on devient, nous, la populasse, dans tout ça. Agressés par des pubs de
con-structeurs automobile qui veulent nous donner bonne conscience, qui
nous poussent à nous ruiner pour acheter une voiture neuve et ainsi
donner un peu d'air frais (qu'on nous pompe) à leur capital...Le
bioéthanol qui appauvrit les pays producteurs...en voie de
développement...Sans compter que nos bagnoles sont tout à fait capable de rouler à L'EAU !Et notre joyeux lutin national qui fait croire à tout
le monde qu'il a réglé la crise européenne (Merci M. Obama d'avoir osé
dire que Bush avait ruiné son pays...et qui nous à fait chier avec sa
crise)...Bush n'est plus au pouvoir, McCain ne passera pas (à moins
que...non, vous pensez vraiment que les votes seront encore truqués ?
Ou qu'Obama va se faire descendre ?) je me demande vers qui le troll
tricolore va se tourner pour profiter des fêtes de fin
d'années...Peut-être encore chez son grand copain Paul !
Bref, voici un petit texte aux dents aiguisées :
les requins :Bienvenu dans un monde
Sans couleur ni amour
Bienvenu dans la ronde
Affamée des vautours
Bienvenu dans le règne
Des gens aux coeurs brûlés
Bienvenu dans la cour
Des spectres dérangés
Bienvenu dans les ruines
Par les cons élevées
Bienvenu dans le sang
Aux couleurs polluées
Bienvenu sur la terre
Dans ces contrées usées
Je vous présente la vie
Défaite et saccagée
Je vous présente la Terre
Doucement sacrifiée
Je vous présente la mort
Elle qui sait se tenir
Debout devant les Dieux
Qu'un jour elle va salir
Je vous présente mon trouble
Présent dans vos pensées
Il détruira vos rêves
Quand ils seront parfaits
J'ai oublié de croire
En un humain sacré
J'ai oublié de voir
Qu'ils l'avaient crucifié
J'ai oublié de dire
Qu'ils auraient dû brûler
Avant de l'accrocher
La-haut par les poignet
Quand on est un humain
Adieu l'humanité
Quand on est un requin
On tue pour le rester
Quand on a peur de rien
On meurt seul à crever
Quand on arrivera
Au bord du grand chemin
J'espère que les requins
Pleurerons le trépas
La planète isolée
Qui aura tout tenté
Qui aura cru rester
Belle en l'éternité
Et moi je sourirai
Je les regarderai
Mourir dans des nausées
S'effriter sans regret
Je rirai comme un fou
A gorge déployée
Je verrai dans leurs yeux
La peur de se noyer
D'étouffer dans la fange
Qu'ils ont si bien créé
Et puis je m'en irai
Le pèlerin esseulé
Et sans me retourner
Ni même sans pleurer
Je me dirai Adieu
M'en remettrai aux dieux
Je leur expliquerai
Pourquoi j'ai l'air heureux
Car en fait les requins
Tous ceux qui vont sombrer
Sont allés vous rejoindre
Ils n'ont pas terminé...
...J'en
ai retrouvé un ou deux bien sympathiques, je fais quoi ? Je vais fumer
une clope et ensuite je vois ce que j'en fais...? -> Sorti. <- Revenu - Donc, après une clope, un café, du
téléphone me revoici (faut pas que j'oublie mon rdv à 15h30 ! ) je
disais que j'avais retrouvé deux sympathiques (peut-être qu'un même,
faut que je relise) écrits, couchés lors d'une période (né)faste de ma
vie de geek - Ben oui j'ai eu une période comme ça d'environ deux ans
et demi - loin d'être désagréable d'ailleurs mais soldée par un échec -
et...holà je vois que je suis entrain de raconter ma vie et que vous
n'en avez sûrement rien à faire (en fait c'est une excuse de ma part
parce que je m'aperçois que je dérive complètement !). Alors trève de
digression et place à l'écrit.In memoriam
Je sais que nos journées sont longues
Oh oui, que nos journées sont dures
Mais dans ce choix qui nous innonde
Je sens un calvaire qui perdure
Je ne sais expliquer l'état
Dans lequel tu nous as plongé
Surtout que toi-même tu ne sais pas
Pourquoi ainsi t'as décidé
J'avais toujours gardé espoir
Qu'un jour nous pourrions balader
Main dans la main sur les trottoirs
D'une avenue que tu connais
J'aurais aimé t'offrir une glace
Te dire "tu en as sur le nez"
Avec mes lèvres laisser place
A l'un de mes si doux baisers
Je pense aussi très très souvent
A ce jour où tu m'attendrais
Dans cette robe dont je rêvais tant
De l'avion dont je descendrais
Tous ces espoirs partent en éclat
Tu n'as jamais donné de chance
A notre couple serait-ce qu'une fois
Tiens, et d'ailleurs tant que j'y pense...
Que se passera t-il dans deux mois ?
Lorsqu'il sera enfin chez toi...
Un mail par-ci ? un mail par mois ?
T'entendre dire que ça va...
Je sens déjà le froid me prendre
M'emporter là où tu n'es pas
De sa morsure il va me rendre
Plus vide qu'une vie sans toi...
Je ne sais pas comment m'y prendre
Pour espérer aller bien mieux
J'ai pas de chance, faut bien se rendre
A l'évidence qu'on "était" deux...
De savoir qu'un autre te touche
Me rend jaloux et puis furieux
J'ai tant de mal, de larmes farouches
De savoir qu'il est le chanceux...
J'ai toujours eu comme un cafard
Pensant qu'on irait pas plus loin
Par moment tu me laissais choir
Me demandant de voir plus loin
Depuis tout temps tu le savais
Que nous ne pourrions pas marcher
Sur des chemins faits à la craie
Que ton pèlerin voulait tracer.
...La
bannière de la page d'accueil, personellement, peu m'importe que vous
aimiez ou pas, moi ça me plaît. Je pense que c'est bien là l'essentiel
non ? Ah non ? En fait je trouvais que cela manquait cruellement de
couleur(s) (et là j'entends un (ou plusieurs) : "Oui c'est vrai que
c'était un peu trop...noir, ça faisait pompes funèbres". Sans doute
mais, encore une fois, comprenez bien que c'est ce qui me plaît (je
vous aime quand même, ne vous en faites pas ;)
Allez, sans rancune ?
...Initiales
d'un réseau débile...100 millions de pékins (et moi, et moi, et moi)
connectés en permanence, dont les infos sont revendus des milliers de
dollars, ne vous étonnez pas de recevoir des mails vous vendant un
produit qui promet d'agrandir votre sexe (messieurs, je vous parle, là
!!) dans des proportions hors normes, bon là c'est un exemple, mais il
en existe des milliers d'autres ! Comment se faire avoir ? Créez-vous
un profil et remplissez bien tout ce qui vous est demandé, jouez le jeu
avec les petites applications, si si !! Allez !!Quand à moi je vous laisse ici un petit quelque chose :Aux esprits du matinJe délivre le froid
En écartant mes doigts
Echappant mes effrois
Laissant gésir mes choix
Je referme la main
Ne retenant le bien
Que pour mieux le chauffer
Ainsi te le souffer
Je protège mon coeur
En le laissant s'ouvrir
Au jardin des couleurs
Quand tu pousses un soupir
Je revis dans l'instant
Un moment délicieux
Je découvre le temps
Dans le fond de tes yeux
Aux esprits du matin
Et aux spleeneurs du soir
Je délivre, serein
Ce message d'espoir
Gardez-là près de moi
Qu'elle reste en ma vie
Que s'en aille le noir
Que s'en vienne la nuit...
C'est
très calme en ce moment, tout va bien sauf que...je dois bien l'avouer,
Batman Forever n'est pas le meilleur, loin s'en faut. Bon ok Robin fait
son apparition mais...Je sais pas...Ok tommy Lee Jones est très bon
mais...Je sais pas...Ok Jim Carrey est comme à son habitude mais...Je
sais pas...Val Kilmer peut-être...Je sais pas...Je vais quand même
finir par dire qu'il n'est pas si mal et...Ouais ben en définitive il
est bel et bien...bof, voilà la fin et ce n'est pas plus mal.
Mais bon, je suppose que vous ne passez pas ici pour savoir ce que je
pense de Batman, il est sympa ok, mais il faut reconnaître que c'est le
seul super-héros sans réel pouvoir, ce qui, pour moi, n'en fait pas un
super-héros. Donc, pour le moment tout va bien
ici, j'ai arrêté d'écrire mais je continue de publier, il ne faudrait
pas non plus se laisser aller hein ? Allez hop, je regarde ce que je
vous sers, patientez SVP !L'été est terminé mais...en voici son swing !La chaleur de l'été nous pousse à l'effeuillage
Dénudant notre corps, débridant la vertu
Assise à mes côtés, d'un paréo vêtue
La douceur de ta peau fait de moi l'anti sage
Le souffle de la brise à mes pensées mêlées
Se dispersent et se brisent à tes courbes opiacées
Quand l'humain que je suis ne rêve que de fête
Mes papilles ont le goût des recoins de ton être
Dans tes yeux je peux lire un sourire, une envie
A deviner tes sens, je deviens endurci
Tu replies d'une main le tissu embelli
Par le creux de ta hanche appelant au délit
Ta respiration chaude soudain enflammée
Délivre les acteurs d'une union bientôt née
Dévorantes pulsions entraînant la passion
J'ai atteint dans mon cœur le point de combustion
Je sens ton ventre chaud bouillonner de saveurs
Quand ma langue assouplie vient goûter les délices
Les arômes indécents et tous les artifices
Que tu déploies sur moi pour cueillir ma rigueur
La chaleur nous enivre et contraint à danser
Un ballet délicieux aux désirs affûtés
je reste bouche bée sur tes lèvres endiablées
Quand ma peau sur ta peau ne cesse de brûler
La chaleur de l'été fait perler nos ébats
Pureté de diamants dont tu te fais éclat
Je t'aime comme un fou, se brouille ma vision
Je chante le bonheur et je perds la raison
...Dans les yeux des gens, des choses que l'on aimerait ne pas vivre pour arriver à ce point là...Dans ton regard.
...Oups
vous étiez là, s'cusez, je chantonnais ne vous déplaise, d'une modeste
voix il faut bien l'affirmer, néanmoins il m'arrive aussi d'écrire
quelques chansons ça et là, vous voulez en lire quelques-une ? Wow vous
me flattez !
Et bien voici :On dégage !On est parti, on est parti
En survolant d'anciennes dunes
Qui nous jugeaient, voyant nos vies
Voulant rire de nos infortunes
Alors je t’ai pris par la main
Je t’ai fais voler par-dessus
On a bien ri, on est malins
Face à ceux qui ont toujours cru
Qu’on n’était pas fait pour s’entendre
Qu’on n’était pas fait pour comprendre
A tous ces fous, qu’ils aillent se pendre
A tous ces fous, qu’ils aillent se pendre
On a défié les regards
De ces idiots à l’esprit plat
De ces cons descendant au soir
Leurs vieilles ordures dans un peignoir
Alors je t’ai pris par la main
Et je t’ai fait voir l’autre monde
Au dessus de ces rêves immondes
Fait par monstres, des crétins
Qui ne pensaient que les mots tendres
N’étaient pas fait pour nous, comprendre
Et bien qu’ils retournent à leurs cendres
Et bien qu’ils retournent à leurs cendres
On est parti, on est si loin
Parti cueillir les fruits du bien
Loin des fous rire de ce destin
Lui qui pensait… Ne pense plus rien
Regarde-moi, tu sens-tu bien ?
Loin des sauvages, des moins que rien
Donnons un sens à la nature
Jetons-leur nos larmes en pâture
Ils ne sont pas faits pour comprendre
Ils sont juste bons à se rendre
Moi, là, j’ai qu’une envie, tu vois
C’est de te prendre, c’est de te prendre
J'avoue que j'ai pris mon temps, mais convenez-en, un déménagement ne se fait pas comme ça, eh bien me
revoici...Donc, le Poitou-Charente (houlà j'entends déjà les mauvaises langues d'ici"Ouiiiiii le poitou-charente, c'est quoi ce pays perdu ? Tu vas y traire les vaches ?"Ahhhhhh
vous les côtiers (en général hein), vous les côtiers, si surfaits, très
près de votre bronzage et de votre cancer de la peau (ça c'est pour
plus tard mais...courage, vous l'aurez !!), comment ne pas vous
maudire (rien de plus simple remarquez, il suffit juste d'habiter sur
la côte hé ! J'y ai habité 35 ans et...j'en dénigre la mentalité et la
populasse).
Votre superficialité n'a dégal que les billets de monopoly (r) qui
refoule de votre porte-monnaie, paraître ou ne pas naître, tel est
l'adage du côtier de base...Bref, je m'égare je vois, la publication
n'a que trop attendu alors en voici quelques-uns juste pour vous, oui
vous, ceux qui savent apprécier !
Allez, un peu de noiceur pour la rentrée glauque et morne de septembre ! (j'casse bien le moral hein ?)Des honneurs et douleursJ'ai entendu pleurer tes yeux
Dans la motion de ta douceur
J'ai confondu le noir dément
Avec le goût de ta douleur
J'aurais pu penser que le vent
Ne peut défaire les éléments
Que par ce qui le lie au temps
Un fil tendu de sentiments
Il a décidé autrement
J'ai ressenti ton coeur couper
Le voile amer des tes nuits blanches
Tu t'es retrouvée baillonnée
Face au silence qui s'épanche
L'amour prétend de belles nuits
Aux doux amants d'une autre vie
Mais il défait puis il salit
Tous les beaux jours qu'on a suivi
Il s'en souvient une fois meurtri
Je t'ai entendu m'appeller
Dans la souffrance qui s'attarde
J'ai oublié la voix sensée
Dans une aurore trop blafarde
J'aurai voulu pouvoir t'aider
Donner la main pour te soigner
J'avais déjà les poings fermés
Mon coeur à déjà trop saigné
Il saigne de t'avoir laissé
...Ces petits moments pris à deux, quand l'un comme l'autre aimons nous détendre avec une tasse de
thé.Un thé ?j'ai une passion pour ce breuvage
Raffinement au goût sauvage
Qu'il soit bien mûre ou au citron
Je n'en connais point d'aussi bon
Mélanges aux feuilles parfumées
Servit bien chaud ou bien glaçé
Il est un moment de partage
A la lecture de quelques pages
Que je te ferais là, un soir
Sur un canapé, enlacés
A son odeur, nous, envoûtés
Le goûterions, blanc vert ou noir
Il est précieux à nos silences
Il est reflet de la patience
Qu'il soit orange ou bien jasmin
Il est la fleur de petits rien
Acidulé, doux, épicé
Il est un choix qui fait de nous
Des passionnés de cet or né
Et tous les amoureux du goût
Je le dédie à toi ma mie
Toi qui le dégustes à toute heure
Toi, qui le sait, qui le choisi
Bois moi comme tu fais avec lui.
C'est
la molécule que j'utilise lorsque j'ai la tête qui s'apprête à
exploser, j'ai tenté d'en décrire les images, quand ces crises ne
m'autorisent plus quoi que ce soit, le temps qu'elles désertent.MigrainesLe vent du soir emporte mes espoirs obscènes
Décadents, prisonniers, si noirs depuis la veille
D'infinis ralentis vont tenir en halène
Les coups de fer cruels piétinant mon sommeil
Elle approche, j'entends son galop enfumé
De lui briser la course, j'attends, me prépare
Je m'en vais défier la vicieuse barbare
Que l'assaut dans ma tête est entrain de gagner
Je poursuis mes migraines, ces dragons ailées
J'ai un mal fou, lié, à mes nuits empalées
A hurler mes douleurs pour qu'enfin elles se taisent
Percutées par le sang dans mes tempes de braise
Je supplie les élans de se faire moins libres
De passer à côté, sans toucher à mes nerfs
Mais ma voix reste veines, enflammées dans leurs fibres
Consummant ma vision dans de coupantes serres
J'ai ce goût dans la bouche, ce fiel arrogant
Qui parcoure mon tube, cherchant la sortie
Je me bats, je l'ensuque et retourne le temps
Empêchant l'explosion de mon cerveau confit
Je m'endors au matin, ankylosé de cernes
L'estomac violenté, surdosé d'antalgiques
La vicieuse est partie, me laissant le teint terne
Jusqu'au prochain combat, encore la mort clinique
Ben...5 ! Ces cinq sens qui nous font que nous vivons une vie normale, les miens sont un peu différents.Mes cinq sens à moiLa mort et ses critères, sa sélection amère
Même en de sombres mots, toujours sera sincère
En larmes habillées, noires, à chacun sa prière
Qui, pour l'humble mortel, n'est autre que l'enfer
L'amour, qu'il soit cruel ou qu'il soit roi, toi, moi
A de très jolis vers, toujours il aura droit
Bonheur ou bien malheur, à chaque amour sa loi
Mais pour des jours meilleurs, en lui nous avons foi.
L'esprit et ses mystères, dérangés ou classés
Sera toujours le même, en des termes opiacés
Comprendre et l'honnorer, maudire l'antre-mêlée
C'est un peu lui qui commande, pourquoi le contrarier ?
Le corps et ses pulsions, impulsives émotions
Sera toujours plus libre en sa simple expression
plus qu'en silences osés, en ces rouges frissons,
Quand les secrets trouvés gémissent à l'unisson
Le coeur, son coup de foudre et ses doux tremblements
Aura place devant, aux profonds sentiments
A l'esprit, l'amour et puis le corps, négociant
Il offre le meilleur de ce que la mort prend
...Modération, dit la publicité, heu non, pardon c'est l'inverse ! Désolé, parfois les brumes nous font dire n'importe quoi.
Mais sans rire, je vous le dit sérieusement (oui ça change hein ?) Ne buvez pas si vous prenez le volant, vous risqueriez de rater l'écrou, ou de vous faire
écrouer.Et unegueule de boispour la 12 ! Une
!les yeux coincés, la tête en vrac
Je remets la nuit dans son sac
J'allume le mal qui brûle ma tête
Cette lumière me met en miettes
La route est longue, des choses traînent
Un bout du lit vient de passer
Entre les doigts d'un de mes pieds
Faudrait que j'hurle mais je me freine
Y'a des matins comme ça, violents
Où le sourire se fait absent
Où les dents grinçent obstinément
Les murs se déplacent, incessants
Mes bras me gênent, ils sont de trop
Mes mains sont raides et puis mon corps,
Aussi faux que mes torts sont vrais
Pendant ce temps, l'alcool lisait
Mais la raison de cet état
N'est que le fait de savoir ça
Ce truc en trop qui vient courir
Dans les cendres grises d'un rire
Lui qui résonne dans la chambre
Là où l'instant s'est arrêté
Toi, aussi belle que de l'ambre
En les arcanes d'un con damné
J'ai le petit orteil cassé
Mais la douleur s'est envolée
Comme ton corps, trop éloigné
Pour attraper le temps passé
Je vais me rendre à l'hôpital
Il ne faut pas laisser traîner
Je prends un verre pour la douleur
Et puis un autre pour le coeur
Puis j'ai soufflé dans le ballon
Me suis retrouvé au violon
Je savais bien que ce matin
Me ferait perdre quelques points
...Je
ne m'étalerais pas, mais je vois que c'est un peu ce que je fais,
alors, voici le dernier (pour l'instant) joli poème, avant de retourner
sombrer dans les ténèbres de mon esprit tordu.J'ai besoin de toiJ'ai besoin de toi comme d'un vent doux
Soulevé le soir par un souffle chaud
Qui redonne espoir à l'amour, ce fou
J'ai besoin de toi comme on était beau
J'ai besoin de toi, vraie comme la pluie
Ses gouttes d'été avalées sans bruit
Offrant le goût de ta bouche sucrée
J'ai besoin de toi comme nous fûmes liés
J'ai besoin de toi comme d'un sable blanc
Caressé d'une mer aussi belle que l'âme
Qui relie la vie qu'on avait un temps
J'ai besoin de toi comme filait la trame
J'ai besoin de toi comme ont vu tes yeux
Les délires à nous, deux amants heureux
Qui riaient aussi quand ça n'allait pas
J'ai besoin de toi comme on était là
J'ai besoin de toi enfin, si tu veux
Si tu dis que le vent, la pluie, le sable
Ne font pas de nous la dernière fable
J'ai besoin de toi sans devenir vieux
...Stiche.Tu n'es pas là et...Tonregard à pour moi les couleurs de l’étéAbsencedouloureuse quand j’éteins la lumièreMerappelant encore ton sourire
adoréBrûleen moi, dans mon cœur et de toi je suis fierUndésirde vivre une
union romancéePeuà peu s’éclaircit dans le
temps qui opèrePlusque tout je voudrais
dans tes bras me trouverChaqueinstant que
tu m’offres est pour moi un repèreJourde
pluie s’en allant, je suis bien à t’aimer
...Comme titre mais l'important n'est pas le paquet mais ce qu'il contient.AmourUn silence et l'amour
Dans un simple regard
Tout se dit en ce jour
Rien n'est dû au hasard
A tes yeux de velours
Et la route qui mène
Au jardin amoureux
Des étoiles sans peine
Où nos corps prennent feu
Où tes mains apaisantes
Sont un soleil de joie
Qui réchauffe mon âme
Dans mon coeur et ma foi
Qui me donne et condamne
Pour garder en leur sein
Les sentiments qui charment
Sur ton ventre satin
Dépourvu de ses armes
j'aime l'or de tes reins
Le refrain des vents doux
Se posant sur tes seins
Ces délicieux bijoux
Que me chantent sans fin
le bienfait des tabous
Dans le jeu de nos mains
Sur l'essence acajou
De ce lit désireux
De nous voir fredonner
Le désir chaleureux
L'envie désordonnée
D'un lien charnel heureux
D'un amour à donner
Un
peu d'amour et de tendresse, ce que mon coeur me dicte depuis quelques
mois maintenant, et en exclu : Le dernier, daté du 6 juillet :Tu sais...Tous les soirs je m'endors, je pense alors
Que la vie te sublime te fait or
Que je vois notre vie dans un décor
D'amour et de complicité, encor
Tous les jours ton visage sur ma voie
Me guide vers ton coeur qui fait de moi
Un homme qui ne veut en aucun cas
Te laisser pour un autre, jamais ça
Tous ces matins à nous que j'entrevois
Me font dire qu'on sera au-delà
De ces banalités parfois qu'on voit
Des gens lassés de vivre sur leur croix
Rien de ce qu'on à vécu avant ça
N'arrive au début de nos ébats
Sur un chemin qui se fait droit
Resteront les empreintes de nos pas
Je n'ai pas de mot plus juste, tu vois
Je suis simplement amoureux de toi
Enfin je me sens bien, en nous je crois
J'ai envie de vivre, mourir dans tes bras
Pour
cause de déménagement. Et bien oui, à compter de demain, je change de
vie, mais je ne vous dévoilerai pas tout, non non non, même si on sait
qu'un blog est déstiné à étaler ouvertement chaque jours de sa vie, ce
n'est pas mon but, le mien est simplement de publier mes écrits. Donc,
puisque je serai absent un long moment, je vais en poster plusieurs
d'un coup histoire de vous faire patienter un peu, généreux non ?
...Fini
de rire, on passe aux choses sérieuses, cet après-midi je suis tombé
sur un poème que j'avais écrit quand j'avais...je sais plus, 23 ou 24
ans (pour infos, j'en ai 35 et j'ai vraiment commencé à écrire vers 31
ans il me semble) et donc je suis tombé sur ce morceau de papier, écris
à la machine à écrire de ma mère, je ne pense pas vous le dévoiler,
non, arrêtez, ne me forcez pas ! Bon ok, mais plus tard alors, pour
l'heure voici quelque chose qui pourrait bien vous faire froid dans le
dos...Je vous laisse déguster.C'est canonPlus de notion, le ciel est noir
J'ai remonté sur moi les draps
Cernée de sang, l'encre du soir
Tâche l'envie de mon trépas
Assis, glaçé contre le mur
Le dos vouté par les années
Je sens le poison d'un murmure
Brûler mes veines saccagées
Il me raconte en un éclair
Que le laiton aime la chair
Que le frisson ne glace guère
Que l'émotion est terre à terre
Je lui réponds que je m'en fous
J'ai le canon qui m'envisage
Qui voudrait bien me faire un trou
Son truc à lui, c'est le carnage
Je tiens la crosse entre mes doigts
Quelle ironie, elle est en os
Le mien va éclater sous peu
Quand la culasse aura fait feu
Et le murmure me plante là
Un travail à finir, je crois
Il aurait pu me dire adieu
La politesse n'est pas son jeu
Le long silence de ma vie
N'aura parlé que pour servir
L'envie pressante d'en finir
Que je m'octroie en cette nuit
L'éclair orange qui vomit
La balle encombre mon esprit
Le choc est rude, un éclair blanc
Je dis bonjour aux grands-parents...
...C'est que je pense beaucoup...Mes penséesMes pensées vont où je le veux
Des fois au loin, dans tes yeux bleux
Parfois elles restent dans les cieux
Reflétant l'or voluptueux
Elles s'amusent à rendre heureux
Mon coeur, ton coeur, nous amoureux
Parfois elles sombres en divers lieux
Pour faire quelques sauts périlleux
Jouant avec le vent soyeux
Grisées de haine, les jours pluvieux
Elles s'amusent du mystérieux
D'un oeil moqueur et fallacieux
Elles sont la voie de mes aveux
Mes lois obliques et l'harmonieux
Elles sont des soleils judicieux
Mon passe-murailles des ennuyeux
Je les sens chaudes en leur milieu
Quand elles se heurtent au disgracieux
De vos cerveaux marécageux
Boueux, miteux et pernicieux
Et peu me chaut, vous êtes iceux
Qui croient que je suis un frileux
Moi, je me tais, respectueux
Car mes pensées sont tellement mieux...
...Juste une façon de voir les choses...Car P. dit Aime Vis les secondes qui s'égrainent
Choisis l'instant hors de la peine
Vis les secondes en décalage
D'un temps couvert par les nuages
Lis en l'orage un jour de pluie
Même au travers le ciel est bleu
Lis en ces larmes au noir de suie
Même en leur coeur le soleil pleut
Suis le chemin pour qu'il te mène
Là où l'on ne croit plus en dieu
Suis donc le regard qui t'entraîne
Là où les jours se font moins vieux
Dis à l'amour que tu veux tout
Les joies, les haines et les tabous
Dis à la mort que tu voudrais
Avoir le temps d'y prendre goût
Aime la vie avec ses clous
Aime-la même si ça détruit
Aime ton coeur qui devient flou
Aime-le même si il s'enfuit
Il est comme ça, Pèlerin, il aime
Parfois récolte ce qu'il sème
Il est comme ça, il parait même
Qu'il est un fou...car P. dit aime
...Est un sentiment éprouvant, qui nous vide au point de ne laisser que la peau sur les os, à vif...VoiciSolitude urbaineSentiment d'impuissance face au rythme effrénéLes pédales se mélangent et te laissent essoufléeTu pensais contrôler mais tes mains se font lissentTout t'échappe et se casse, tu les fermes et tout glisseLe téléphone sonne mais personne n'entendTes amis veulent avoir des nouvelles d'iciDans ce monde techno, on se donne et on prendDes savates à la gueule et une âme meurtrieLes doigts dans les cheveux et les ongles enfonçésTu te mords les lèvres, te sens agonisertu regardes au carreau, la vie coule au dehorsToi tu pleures dans ton coin, toi tu hurles à la mortles lumières de la ville te renvoient en échoLes silences du monde de ce siècle nouveauUne main sur le coeur et le coeur caniveauQuand s'en vient le rictus du fantôme au lassoTu t'assoies sur le sol et tu pries les sirènesces obscurs corbeaux, sentiment de la haineQue personne ne sorte ! Vous aurez des ennuisA lui tendre une main, à consoler sa vierestez donc enfermés, ne vivez que pour vousOn ne demande rien, c'est pour vous une aubaine !Mais un jour je le souhaite, tourne pour vous, la roueVous comprendrez ce qu'est, la solitude urbaine
...Je
ne sais par lequel commencer, surtout ne les ayant jamais classé par
date. Si je commence par le celui que je crois être le premier, j'ai
peur de vous voir fuir et de ne jamais revenir, alors je vais tenter le
coup avec humour, c'est mieux que rien !Pétasse de base :Lumière flashy et tapis rouge
voici venir la plus belle courge
Tout en or dur(e) et ultra plate
La concurrence de la patate
Toi toute en strass, rien dans la tête
Tu joues la fine et tu t'arrêtes
Quand la question qu'on te répète
N'est pire que toi, je veux dire...bête
Roulant ton cul pour affamer
Les petits con en Porsche, blindés
Ton rire fusille mes tympans
Et quand tu pleures tu fais gnangnan
Tu parles fort à ton mobile
Mais y'a personne au bout du fil
Tu te présentes "chuis Marie-Line"
Et le chewing dans les babines
Your sunglasses, made by Ray-Ban
Regard de mouche cherche fans
Tu les portes la nuit, c'est glam !
Tu fais la belle et t'es diaphane
Ou dans le 4x4 Mercedes
Que t'as piqué à ton mari
Tu penses que t'as de belles fesses
Tes copines crèvent de jalousie
On pourrait te croire de Paname
Quand tu la fais façon "Madâme"
Allumeuse née, pétasse de base
Mais c'est à Cannes qu'on te croiseTiré de fait réels, ceux qui connaissent la côte d'azur savent combien je suis dans le vrai, et rien que d'y penser, ça me fait
sourire...
Une clope au bec, ouais, mais pas de verre de cognac, pas de bière, juste un café...
Tous ceux qui écrivent le savent, il ne suffit pas de balancer des mots
à la suite les uns des autres pour penser qu'on vient d'écrire un truc
d'enfer, j'ai moi-même écris des textes bourrés de fautes (pas
d'orthographe, mais plutôt d'ordre technique), et vous pourrez le
constater une fois ceux-ci mis en ligne. Je ne les ai pas retouché,
j'aurais pu, remarquez, mais ce sont mes premiers écrits, mes premiers
sentiments étalés devant mes pieds,là parterre.Et après cela, je
n'aurais jamais imaginé en écrire d'autres, certains parfois mauvais (à
mon goût), d'autres meilleurs (toujours à mon goût) mais au fur et à
mesure, l'envie de poser des mots s'est faite plus forte, parfois si
forte que j'en suis venu à écrire des textes qui finissaient souvent
par se ressembler, car l'habitude aidant, on sait à peu près où mettre
les mots, quoi en faire et surtout lesquels choisir. Le vocabulaire
aussi se faisait semblable au fil des écrits, de là j'ai compris que
l'inspiration ne faisait pas parti des "habitudes". Mais c'est bon de
coucher des mots.Ce
que vous allez lire, pour la grande généralité, est tiré de sentiments
forts, dont les plus connus sont l'amour et ses contraires, ou plutôt,
ses à-côtés. Plus précisément, de ce qu'on ressent lors de ces à-côtés.
Les images que j'utilise pourront vous paraître absurdes ou pleine de
non-sens...Alors qu'elles en ont un. Juste pour info, sachez aussi que
ma façon d'écrire est inspirée d'un chanteur français à texte, appelé
"le poète maudit", je vous laisse avec Google, il vous en dira plus que
moi ;)Je
suis le premier à ne pas savoir lire entre les ligne, je ne vous
demanderai donc pas cette effort et ne vous en voudrai pas si vous ne
pouvez pas le faire, tirez-en ce que vous voudrez et profitez...Ça vaut
ce que ça vaut, moi, ça me plaît et voilà bien l'essentiel.Merci.